Olivier Arseneault propose un jeu rythmique dialoguant entre la gigue et le montage. Cette étude a été réalisée lors d’une résidence au Salon 58 à Marsoui en décembre 2022, en partenariat avec BIGICO, lors de laquelle Olivier a eu l’occasion d’expérimenter différents procédés de montage pour mettre en valeur certains aspects propre à la gigue. Isolée, multipliée, accélérée, ralentie, syncopée, la gigue révèle certains secrets et revêt de nouvelles esthétiques.
Laissez vous porter par cette proposition à la fois poétique et surprenante qui attire le sourire.
Réalisation et interprétation : Olivier Arseneault
Réunissant deux artistes sous le signe du défi, dans ce nouvel épisode, la gigue prend une allure urbaine. Suivez ce parkour qui permet à la ville de teinter ces pas vifs avec du violon ou de l’accordéon. C’est une gigue contemporaine qui prend d’assaut le mobilier urbain sous les couleurs d’un a...
La création, la fertilité, la naissance, la vie, la mort… On chemine de l’un à l’autre et tout s’enchaîne, se chevauche dans un cycle sans cesse renouvelé. Le rythme, d’abord enveloppant, berce la vie. Puis, la cadence s’accélère, le souffle s’intensifie. La spirale en expansion s’ouvre vers un n...
À la brunante, le son d’un violon dans le vent, des pas. Un tête-à-tête. Une chaumière en perdition. Les pieds valsent un brin, valsent sans se lasser. Plus d’un grincement glisse sur les murs. Dans un clair-obscur, comme au cœur d’une vieille peinture qui noircit avec le temps, un dialogue attir...